Tendresse (brouillon)
Un morceau écrit le 18 mai (et oui, aujourd’hui même) sur une musique composé il y a une dizaine de jours et enrichie depuis.
C’est un brouillon pour travail avec un chanteur qui deviendra sans doute célèbre, alors j’espère que vous me pardonnerez la voix de casserole (ce n’est pas mon registre, en fait, cette chanson). Les arrangements font appel à un Clavinova (si si, c’est moi qui joue le piano) et à Reason pour l’orgue et la basse. C’est peu abouti, c’est pour bosser, je le répète.
Tendresse
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Tendresse - instrumental
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Paroles :
Jour après jour, je rêve
Un froid matin se lève
Joue sur joue, rosies par le vent,
Le temps s’arrête pour un moment
.
Jour après jour, je rêve
Un songe calme, sans fièvre
Dialogues d’yeux, nourris de silence
Le monde entier reste hors de la danse
.
Vous qui écoutez mon histoire
Vous qui faites semblant d’y croire
Ne vous méprenez pas
Les mots sont gris et pâles et faibles
Les phrases offrent bien peu d’aide
Pour dire ce rêve-là
.
Nuit après nuit, je vis
Cœur apaisé, sans souci
Loin de l’ennui, dans ce monde étrange
Je pense à toi, rien ne me dérange
.
Nuit après nuit, je vis
Les yeux fermés, sans bruit
Instant de paix, pour quelques secondes
Juste car je sais, tu es en ce monde
.
Vous qui écoutez mon histoire
Vous qui faites semblant d’y croire
Ne vous méprenez pas
Les mots sont gris et pâles et faibles
Les phrases offrent bien peu d’aide
Pour dire ce rêve-là
.
Vous qui écoutez mon histoire
Vous qui faites semblant d’y croire
Pardonnez ma maladresse
Les mots sont gris et pâles et faibles
Les phrases offrent bien peu d’aide
Pour dire ma tendresse
publié le lundi
21 mai 2007 à 12h49
par Èffe
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